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Quatrième de couverture :
Tout le monde appréhendait de croiser mon chemin, car j’étais le Fléau…enfin, jusqu’à ma rencontre avec eux.
Sur Derweid, j’étais le Main de la prêtresse des Filles d’Odin. Après plusieurs années à exécuter n’importe qui pour elle, j’ai disparu aux yeux des membres de mon ancien coven.
Mes talents étant assez limités, je suis devenue un sicaire pour le compte des terrestres. J’extermine avec plaisir les macchabées, mais à l’approche de mon 30ème anniversaire, j’ai décidé de raccrocher. J’ai envie de tirer un trait sur cette vie funeste, loin des surnaturels de toutes les galaxies !
Avant je dois tenir ma promesse et tuer les meurtriers de ma mère.
Et si, cette ultime mission marquait les prémices d’une nouvelle existence bien différente de celle que j’avais imaginée ?
Cette saga est une romance paranormale de type harem inversé dans un multivers.
Extrait 1 :
— Tu parles de sujets que tu ne comprends pas, visiblement ! s’offusqua-t-elle en croisant ses bras.
— Un méta n’est qu’un animal ! répliquai-je, convaincue.
— Siobhan, c’est un être vivant ! Parfois, je me demande si toi, tu l’es encore ! Ils sont humains, comme n’importe qui, voyons. Le lien qui unit une Élémentaire et son méta Élémentaire est immensément puissant ! C’est l’expression de la vie, l’incarnation des forces cosmiques dans la matière. Vois-le comme le yin et le yang. La sorcière est le yin et le méta est le yang. Il manque à chacun un aspect tant qu’ils ne se sont pas trouvés ou qu’ils se sont perdus.
— Cornelia n’en parle jamais.
— Les Filles d’Odin n’en possèdent pas ! Votre magie canalise la mort. Ici, il s’agit de création. L’essence qui te traverse quand tu es avec ton méta est une concentration de vie à l’état pur. Quand comprendras-tu que la vie n’existe plus chez les sorcières d’Odin ? Vous émanez et ne diffusez que la mort…”
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Extrait 2 :
“— Enchanté ! poursuivit Alexander en me tendant la main.
— Je sais qui tu es. J’aurais du mal à oublier le moindre détail de la soirée d’hier.
Il fit un pas vers moi.
— N’aie pas peur, je ne te veux aucun mal.
Les mains levées en signe de paix, il me souriait. Ses yeux bleu ciel illuminaient son visage dans la pénombre de ce début de nuit. Bien plus jeune que Corbeau, de son aura émanait un flux d’amour exceptionnel pour un mort-vivant. Il ne m’inspirait aucune crainte et surtout, il paraissait aussi beau à l’intérieur qu’à l’extérieur. C’était trop louche pour être honnête. Qu’avaient les macchabées dans ce district, ils ne correspondaient en rien de ce à quoi j’étais habituée avec leurs congénères ?
— Que veux-tu ?
— T’inviter à dîner ? lança-t-il sur un ton amical.
Pour le coup, celle-là non plus, je ne l’attendais pas. Je restai devant lui, mutique, et mes sourcils châtains se froncèrent.
— Pourquoi voudrais-tu manger avec moi ?
— Pour que nous fassions connaissance…
En une seconde, je récupérai ma vivacité mentale et je compris.
— Corbeau t’envoie ?
— En effet. Je ne connais pas le contenu de votre échange, mais, a priori, il en a tenu compte.
— Alors il t’a missionné pour me faire la cour ? ironisai-je après avoir jeté ma poubelle dans la benne.
Il éclata d’un rire chaleureux.
— Je souhaite simplement que nous mangions ensemble afin de discuter dans une atmosphère plus agréable. Tu vas vite te rendre compte que je suis plus sympa que lui ! Laisse-moi la possibilité de te le montrer, c’est tout, ajouta-t-il d’un air mutin.
— Je n’ai pas besoin que tu me montres quoi que ce soit. Ne t’entête pas, je ne suis pas, mais alors pas du tout intéressée ! “